mardi 18 octobre 2011

Erik Van Baren "Quand la société se fracasse, la générosité doit reprendre le dessus"

Après une vie passée à draguer tous les ports du monde, Erik Van Baren, ancien président du conseil d'Ackermans et van Haaren, a choisi de sonder vos portefeuilles. Fondateur de Donorinfo, établissement d'utilité publique, il se mobilise pour que les particuliers et les entreprises retrouvent le chemin de la philanthropie.

De nationalité néerlandaise, il a grandi en France, vécu en Belgique et travaillé sur tous les continents. Ancien directeur général d'Ackermans & van Haren, holding industriel coté au Bel20, Erik van Baren en présida le conseil d'administration jusqu'en 2006. Un an auparavant, il avait créé Donorinfo. Cette fondation d'utilité publique offre une information précise à tous ceux qui souhaitent soutenir une organisation philanthropique. Objectif: augmenter le nombre total des dons aux associations de terrain qui viennent en aide aux personnes dans le besoin.

Cette volonté de faire bouger les choses ne traduit pas un simple besoin d'altruisme. Elle s'appuie sur une réflexion personnelle... Erik van Baren C'est exact. Nous sommes en train d'affronter des temps nouveaux. Deux grands auteurs l'ont très bien exprimé. Le philosophe Michel Serres a écrit "Le Temps des crises". Il nous y rappelle que le monde actuel a plus changé en 50 ans qu'en 2000 ans. Le problème, c'est que les gouvernements continuent à agir comme autrefois!

L'autre grand livre, c'est "Le Dérèglement du monde", d'Amin Maalouf. Face aux bouleversements actuels, il n'y a, selon Maalouf, que deux possibilités: soit chacun se replie sur soi et ce sont "les identités meurtrières" dont il a parlé, c'est-à-dire le choc des civilisations; soit les gens se parlent de religion à religion et jettent des ponts pour imaginer un monde nouveau, y compris sur le plan économique.

Avant de parler de Donorinfo, arrêtons-nous sur ces "identités meurtrières". Toute votre vie professionnelle y a été confrontée, non? Il est vrai que j'ai aussi adoré ce livre-là de Maalouf, car j'y retrouve ma vie. Ma famille a toujours été l'exemple d'identités non meurtrières: tout le monde partait travailler à l'étranger.

En fait, j'ai eu trois vies. La première, celle de mon enfance, était déjà celle d'une famille d'expatriés. Mon père, ingénieur civil, avait fait ses études en Hollande, mais il avait été éduqué en Belgique. Il a été nommé sur un chantier au Havre. J'ai très vite eu la même passion que mon père pour le dragage. Lorsque j'avais un bon bulletin, je pouvais l'accompagner sur les chantiers! Notre famille a beaucoup bougé.

Votre deuxième vie? C'est ma vie professionnelle, toujours aussi internationale. J'ai très vite été amené à courir le monde. Mes quatre fils sont nés chacun dans un pays différent... J'ai travaillé en Egypte et au Ghana. J'ai approfondi le canal de Venise. J'ai également bossé en Afrique du Sud et dans le Golfe persique. C'était l'époque de la première crise pétrolière et il a fallu moderniser des ports pour pouvoir importer et exporter en Arabie Saoudite. J'ai aussi eu des missions aux Émirats arabes unis et en Iran jusqu'à la chute du chah... C'est un parcours qui fait réfléchir.

D'où votre troisième vie? Oui. Quand ma retraite s'est présentée, au début des années 2000, j'ai eu envie de faire autre chose que des affaires. C'est pour cela qu'est né Donorinfo. Je souhaitais encourager la philanthropie, sachant que les pouvoirs publics seront de plus en plus démunis. Les Trente Glorieuses sont derrière nous pour toujours.

Quels sont les problèmes actuels? Le premier, évident, est l'endettement des États, ce qui menace le financement de nos pensions. La retraite par répartition, qui est une belle idée en soi, fait surtout qu'on ne provisionne pas pour ceux qui travaillent lorsqu'ils seront à la pension. Le système ne peut pas tenir. On a donc endetté nos enfants et nos petits-enfants.

Second problème, tout aussi insoluble: l'augmentation du chômage à cause des problèmes de concurrence internationale et de délocalisation. Alors, soit on fait comme aux États-Unis, et chacun se débrouille. Soit, on choisit de mettre en place une société plus solidaire, où les plus nantis pourront aider les plus faibles. Je suis résolument pour cette deuxième voie. Or, l'État sera de moins en moins capable de remplir son rôle social. Ou alors, ce sera au prix de nouveaux endettements et d'une catastrophe annoncée!

D'où l'idée de Donorinfo? En effet. L'État doit pouvoir faire des économies sans paralyser le monde de ceux qui travaillent. Il faut donc soulager l'État par une action voulue et acceptée par ceux qui ont la chance d'être un peu mieux placés que d'autres... Le but de Donorinfo est de développer un système d'information clair et rigoureux qui encourage les gens et les entreprises à donner en toute confiance. J'insiste: Donorinfo n'accepte aucun don, ni subvention - son budget annuel de 150.000 euros est assumé intégralement par quelques personnes privées. Nous sommes totalement indépendants sur les plans politique, philosophique et financier.

Comment sélectionnez-vous les organisations que vous renseignez? Nous désirons avoir accès aux renseignements financiers. Les organisations qui souhaitent être publiées sur donorinfo.be doivent accepter que leurs chiffres soient vérifiés et présentés suivant un schéma d'analyse clair et harmonisé. D'un côté, nous relevons les sommes dépensées pour les projets et activités, la récolte de fonds et l'information, l'éducation, la sensibilisation. De l'autre côté, nous distinguons les dons et les legs, les produits d'activités, les produits de services rendus aux bénéficiaires de l'aide et les subsides. Les chiffres publiés sur Donorinfo.be sont tous vérifiés par un organe externe agréé: réviseur d'entreprise, expert-comptable agréé IEC ou un comptable agréé IPCF.

Pas d'excuse pour ne plus donner...? C'est bien cela. Souvent, le public - particuliers ou entreprises - brandit un double argument pour ne rien faire: "Nous ne savons pas à qui donner et, de toute façon, on ne sait pas contrôler l'utilisation des fonds." Voilà pourquoi Donorinfo publie des informations objectives et détaillées sur 230 organisations actives en Belgique. Plus d'excuse, en effet!

Un travail de fond, loin des grand-messes médiatiques caritatives? Je ne nie pas l'importance des dons qui sont faits à ces occasions, souvent de manière émotionnelle. Il faut de ces grandes opérations. Comme il faut de grandes organisations humanitaires, capables de remplir un avion cargo en une nuit. Mais je ne veux pas qu'on oublie toutes les plus petites qui contribuent à tisser tout un réseau de solidarité.

Certaines campagnes média jouent résolument l'émotion. Vous en pensez quoi? Certaines associations font de la publicité en passant par des agences de communication. L'utilisation d'images misérabilistes m'énerve. Ce n'est pas comme cela qu'on doit conscientiser les gens. De plus, il faut payer ces instituts de marketing, qui prennent parfois un pourcentage sur les sommes récoltées.

Je ne mets pas en cause les actions de terrain que rendent possible de telles collectes de fonds. Mais je ne désire pas sponsoriser les sociétés de marketing en prenant une part des dons destinés à ceux qui souffrent...

Lorsqu'une entreprise développe des actions philanthropiques, doit-elle le faire savoir? Oui... si elle fait bien les choses, c'est-à-dire en toute transparence et en vérifiant que les fonds soient dépensés de manière correcte. Je ne suis pas en faveur du saupoudrage, au coup par coup, qui relève du bon vouloir de tel ou tel administrateur. En revanche, je crois aux vertus d'un discours clair, présenté sans ambiguïtés aux actionnaires - à qui il appartient de décider - et par lequel l'entreprise explique son idéal, qui ne passe pas que par le business mais aussi par une action sociale.

À l'anglo-saxonne? Exactement. Les pays protestants ont une tout autre mentalité. Les gens ne cachent pas leur réussite... que Dieu apprécie - je force à peine le trait! Plus ils sont riches, plus ils doivent donner, en accord avec leur pratique religieuse. Dans nos pays latins et catholiques, l'argent est perçu comme quelque chose de sale. C'est dans l'Évangile. Le fait d'être riche ne garantit d'ailleurs en rien l'accès au Paradis... Alors, on se cache, on dissimule. Et on accumule... Pourquoi? Pour être toujours plus riche? Oui, je sais, on répond toujours que c'est "pour ses enfants". Mais combien de gens aisés ont-ils demandé à leurs enfants s'ils ne seraient pas d'accord, plutôt que d'attendre leur décès, de déjà mettre une partie du patrimoine dans une association d'utilité publique dont ils seraient administrateurs? Un certain nombre d'enfants répondraient par l'affirmative... Aimer ses enfants, c'est leur apprendre à aimer les autres.

Ne vous reproche-t-on jamais de tenir un discours un peu paternaliste? Je l'assume en tout cas. En rappelant à tous ceux qui ont beaucoup d'argent que leur cercueil n'aura pas de tiroirs, et que leur linceul n'aura pas de poches! Quand on est déjà très riche, augmenter son patrimoine n'a plus beaucoup de sens. Notez qu'on parle toujours de patrimoine, et pas de fortune, qui est un vilain mot...

Nous arrivons à la fin d'un système. La succession rapide de crises à laquelle nous assistons nous envoie un signal clair. Nous sommes passés d'une philosophie du groupe, qui était étouffante parce qu'il fallait tout accepter, à un individualisme nourrissant, et c'était un bien. Mais cet individualisme aujourd'hui poussé à l'excès fracasse le groupe. Il nous faut changer le monde. La générosité doit reprendre le dessus.

230 organisations en ligne Le moteur de recherche donorinfo.be permet de chercher une organisation soit par ordre alphabétique, soit à l'aide de clés de recherche (thème, besoins, localisation...)

Chaque organisation y est présentée sur deux fiches en toute objectivité et impartialité:
La fiche projet présente les renseignements pratiques, les objectifs, les activités...
La fiche financière présente les moyens financiers de l'organisation, affectés selon un modèle standardisé et qui a contrôlé les comptes du dernier exercice.

Ce contrôle externe n'a pas pour but de vérifier l'efficacité avec laquelle les sommes ont été dépensées, mais de vérifier qu'elles ont été correctement imputées.

La banque de données donorinfo.be est actualisée chaque jour.
www.donorinfo.be info@donorinfo.be

http://www.lecho.be/nieuws/archief/Erik_Van_Baren_Quand_la_societe_se_fracasse_la_generosite_doit_reprendre_le_dessus.9113133-1802.art?ckc=1

lundi 17 octobre 2011

Quelque 500 personnes manifestent à Bruxelles contre la pauvreté


Selon les militants, un enfant sur six vit dans un environnement pauvre
Environ 500 personnes se sont rassemblées dimanche sur la place Sainte-Catherine à Bruxelles, pour manifester en cette Journée mondiale de lutte contre la pauvreté. Rassemblés à l'initiative du Réseau belge de lutte contre la pauvreté (BAPN), les manifestants réclament des moyens supplémentaires pour juguler la pauvreté des jeunes et des enfants. Selon les militants, un enfant sur six vit dans un environnement pauvre.

"Chaque famille doit recevoir des revenus lui permettant de vivre dans la dignité", a déclaré le réseau, qui souhaite que les revenus les plus bas soient considérablement augmentés.

Le BAPN s'inquiète également du taux de chômage chez les jeunes: "En mars 2011, près de 21 pc des jeunes belges étaient sans emploi. Un jeune risque trois fois plus qu'un autre de se retrouver au chômage".

Belga
Mis en ligne le 16/10/2011
http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/692191/quelque-500-personnes-manifestent-a-bruxelles-contre-la-pauvrete.html

Jeunes et enfants d'abord


La misère, pour un enfant, c’est aussi, très concrètement, ne pas avoir de loisirs hors de chez lui. En Belgique, 18,5 % des jeunes sont concernés.

A la veille de la Journée mondiale du refus de la misère, ce 17 octobre, on constate qu’en Belgique le risque de pauvreté se situe à 14,6 % de la population, comme en 2009. Ce qui veut dire que près de 15 % de la population, ou un Belge sur sept, vit sous le seuil de pauvreté. Autrement dit encore : ils se débrouillent avec moins de 973 euros par mois pour une personne vivant seule ou 2044 euros pour un ménage composé de deux adultes et deux enfants, selon les derniers chiffres de la Direction générale Statistique et Information Economique du SPF Economie. Comme chaque année, elle a réalisé une enquête en interrogeant plus de 6 000 ménages sur leurs revenus et leurs conditions de vie au sens large. Harmonisée au niveau européen, cette enquête EU-SILC a pour but principal de cerner l’évolution de la pauvreté.

Pour le SPF Economie, la crise ne semble donc pas pour l’instant entraîner une augmentation de la pauvreté dans de larges couches de la société. Précisons tout de même qu’en Belgique, 95 000 ménages, qui dépendent des centres publics d’aide sociale, flirtent sans cesse avec ce seuil de pauvreté, puisque le revenu d’intégration sociale est fixé à 770,18 euros mensuels pour les isolés et 1026,91euros pour les familles.

Mais si le risque de pauvreté se stabilise autour de 15 %, il est toujours plus élevé en Wallonie (17,7 %) qu’en Flandre (10,4 %), même si la différence est légèrement moins prononcée qu’un an auparavant. Les femmes (15,2 %) restent proportionnellement plus nombreuses que les hommes sous le seuil de pauvreté (13,9 %).

La dernière enquête EU Silc s’est penchée en particulier sur le sort des plus jeunes. Les enfants et les adolescents constituent un groupe particulièrement vulnérable, puisque 18,5 % des jeunes appartiennent à un ménage en risque de pauvreté. Des résultats qui choquent et interpellent. Pour un quart de ces enfants et adolescents de moins de 16 ans qui vivent dans la précarité, cela se traduit durement : zéro activité régulière de loisirs en dehors de la maison parce que c’est carrément impossible pour le budget du ménage.

Comme chaque année à pareille date, les mouvements Luttes Solidarités Travail (LST) et ATD Quart Monde se réuniront ce lundi au Parlement pour une cérémonie devant la dalle commémorant les victimes de la misère. Où figure, en wallon, la phrase suivante : "Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l’homme sont violés. S’unir pour les faire respecter est un devoir sacré." Elles invitent cette année les associations actives dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation durable à partager leurs points de vue et expériences, dans une volonté commune de promotion des droits humains, au Nord comme au Sud. Ici comme là-bas.

An.H.
Mis en ligne le 17/10/2011
http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/692205/jeunes-et-enfants-d-abord.html

samedi 15 octobre 2011

eau

Super bonne nouvelle, Paul nous a obtenu via via son cercle d'ami +/- 400
bouteilles d'1/2 litre de Bru et +/- 100 bouteilles (1/3 ou 1/2 litre) de
Spa pour nos distributions !!!!

Vive la solidarité !!!!

Merci à Paul et ses amis d'amis d'amis... :-))

vendredi 14 octobre 2011

Un Belge sur sept vit sous le seuil de pauvreté

Pour le SPF Economie, la crise ne semble pas pour l'instant avoir pour conséquence une augmentation de la pauvreté.

Le risque de pauvreté en Belgique a atteint 14,6 pc en 2010, tout comme en 2009, ressort-il vendredi de chiffres de la Direction Générale Statistique et Information Economique (DGSIE) du SPF Economie. Cette dernière publie ainsi les résultats de l'enquête EU-SILC 2010 (revenus 2009) - European Union - Statistics on Income and Living Conditions. D'après l'enquête, qui étudie annuellement en Europe les revenus et les conditions de vie, 14,6 pc des Belges avaient l'an dernier, tout comme en 2009, un revenu inférieur au seuil de pauvreté. Ce dernier a été établi, pour 2010, à 973 euros pour une personne vivant seule ou 2.044 euros pour un ménage composé de deux adultes et deux enfants. Pour le SPF Economie, la crise ne semble pas pour l'instant avoir pour conséquence une augmentation de la pauvreté.

Il ressort par ailleurs des statistiques que le taux de pauvreté en Wallonie (17,7 pc) est toujours supérieur à celui de la Flandre (10,4 pc). La différence est cependant moins prononcée qu'un an auparavant.

Les femmes (15,2 pc) se trouvent toujours plus souvent sous le seuil de pauvreté que aux hommes (13,9 pc). D'autres chiffres montrent que les parents seuls avec enfants dépendants (35,3 pc), les plus de 65 ans (19,4 pc) et les jeunes (18,5 appartiennent à un ménage en risque de pauvreté) sont vulnérables.

Environ 6.000 ménages (11.000 personnes) sont interrogées annuellement en Belgique pour l'enquête EU-SILC.

 

 

http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/691877/un-belge-sur-sept-vit-sous-le-seuil-de-pauvrete.html

Belga

Mis en ligne le 14/10/2011

 

Collecte de Gros Pulls


Bien que la crise frappe à nouveau durement Dexia, je voudrais signaler une chouette initiative de mon employeur : une collecte de Gros Pulls.

Comme aux Biscuits, nous ne distribuons pas de vêtements, si vous avez des gros pulls ou couvertures à donner c'est l'occasion ! Vous pouvez me les faire parvenir lors de la prochaine distribution (21/10) ou en m'écrivant un petit mail à lesbiscuits@gmail.com, ils seront ensuite redistribuer via le SAMU social/Oxfam/asbl Chez Nous .

Un tout grand merci d'avance,

Hoan

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Pourquoi une collecte de gros pulls ?

L'an dernier, à l'occasion de la « Journée du gros pull », une récolte de gros pulls a été organisée chez Dexia. Cette action de solidarité sociale avait été un vrai succès : au total, plus de 2000 pulls avaient été récoltés ainsi que 500 couvertures dont 450 achetées par le « SOS fonds » de Dexia.

A l'occasion de la Journée Mondiale de Refus de la Misère, Dexia souhaite renouveler cette action et confirmer son engagement sociétal. Une grande collecte de pulls et de couvertures sera organisée du lundi 17 octobre au vendredi 21 octobre dans les sièges centraux et régionaux ainsi que dans les agences, en collaboration avec le SAMU-social à Bruxelles, Oxfam et l'association Chez Nous.

Compte tenu de la situation actuelle de Dexia, la Commission Environnement s'est interrogée sur le bien-fondé de cette action. La collecte étant prévue de longue date, aussi bien chez Dexia que dans les associations partenaires, il a finalement été décidé de la maintenir. Nous espérons que malgré les évènements récents, vous aurez à cœur de soutenir cette cause en faveur des plus démunis.

Participez nombreux !

Vous avez d'anciens pulls ou couvertures (ou couettes) dont vous n'avez plus l'usage ? Donnez-leur une seconde vie et offrez ainsi un peu de chaleur à ceux qui n'en ont pas ! Les vêtements et couvertures récoltés seront offerts directement aux sans-abri ou revendus par Oxfam et le bénéfice de la vente ira aussi aux plus démunis.

En pratique

Des stands seront installés dans les halls d'accueil de chaque grand bâtiment (DT, PA et GI). Vous y trouverez trois grandes boîtes destinées à recueillir séparément les pulls pour adultes, les pulls pour enfants et les couvertures. Des délégués de la Commission Environnement seront présents aux stands du 17 au 21 octobre de 7h30 à 10h. En l'absence de délégué, déposez vos dons sur les tables ou dans les boîtes, mais reprenez avec vous les sacs qui vous auront servi à les transporter.

lundi 3 octobre 2011

Invitation concert 22 octobre ☼

Salut !
 
Je te forward ceci car il s'agit de tram 55 qui nous a aidé pour les deux aprèm culturels.
Si tu pouvait répercuter, ça serait sympa de leur renvoyer l'ascenseur.

Bien à toi,
 
Robert
 
 
 
Sent: Monday, September 12, 2011 10:24 AM
To: undisclosed-recipients:
Subject: Invitation concert 22 octobre ☼
 
Bonjour,

Je vous invite à venir nous écouter et passer un moment de détente et de bonne humeur le samedi 22 octobre. Vous trouverez toutes les informations ci-dessous.  N'hésitez pas à faire circuler :D

Amitiés,

Christine Mathy

 

Tram55 (Uccle/Belgique) invite les Canards Sauvages (Uzès/France)  
samedi 22 octobre
Centre Saint Marc-76, avenue de Fré- UCCLE
pour un concert choral
à 2 chœurs : TRAM 55 & les Canards Sauvages,
à 2 têtes (Anne van K. & Viviane Simon)
et muni d' environ 500 orteils…………….


Dès 19h : bar avec tartes salées/sucrées & autres grignotages mitonnés par TRAM 55
 
20h : CONCERT -Tram 55 chantera polyphonies jazz et chansons françaises a cappella

Entracte : bar & zakouskis

Seconde partie du CONCERT : les Canards Sauvages dans leur dernier répertoire venu d 'Europe de l'Est  
http://canards-sauvages.blogspot.com <http://canards-sauvages.blogspot.com/>
 
Fin de soirée au bar dans une ambiance carrément endiablée jusqu'à point d heure.
 
Pas de réservation
- venez affamés & à temps -prix unique de 7€

• Evitez d'amener des enfants petits pour cette longue soirée
• Parking derrière l'église ultra moderne Saint Marc
• Répertoire profane dans une acoustique miraculeuse
 

 

samedi 1 octobre 2011

L'équipe des Biscuits fête ses 10ans !

Cela va déjà faire 10 ans que l'équipe des Biscuits distribue des colis aux plus démunis à la gare centrale. En 10 ans plus de 150 bénévoles ont pris part à cette superbe aventure humaine. Il était temps de leur rendre un petit hommage ! L'asbl Les Biscuits en a donc profité pour les inviter tous autour d'un repas de fête sous le thème "rencontres et partage". L'ambiance était bonne enfant et chaleureuse comme d'accoutumé. Parmi la cinquantaine de personnes présentes, pas une seule n'a pris une ride, serait-ce donc là le secret de la longévité ? En tout cas, le dîner oriental était succulent et généreusement offert par l'asbl Sésam' - n'hésitez pas à jeter un oeil sur leur site WEB, le rapport qualité-prix est exceptionnel ! => http://www.bouillondecultures.be/sesam/sesam-Index.html).

Voici également les quelques photos de la soirée : https://picasaweb.google.com/109058697795734322577/110930_10ans

Encore Merci à tous ces bénévoles qui donnent de leur temps aux autres ! Ce fût un réel plaisir de partager cette aventure avec vous ! Nous espérons vous revoir tout bientôt pour fêter nos 20 ans !! Longue vie aux Biscuits !!

Ensemble redistribuons le goût à la vie !