dimanche 27 novembre 2011

Restaurant social - Centre de Service Social de Bruxelles Sud-Est]

Bonjour,

 

Vous trouverez en pièce jointe l'affiche concernant la réouverture du restaurant social du  Centre de Service Social de Bruxelles Sud-Est à partir de ce lundi 14/11/2011.
Pour rappel le restaurant est ouvert tous les midis de la semaine chaussée de Boondael 34 entre 12h30 et 14h et le repas est vendu sur place au prix d'1€.

Bien à vous

 

LE RESTAURANT SOCIAL VOUS Accueille

CHAQUE MIDI DE LA SEMAINE

DU 14 NOVEMBRE 2011 AU 16 MARS 2012

A 12H30

1€ le repas

au Centre de Service Social de Bruxelles Sud-Est

Chaussée de Boondael, 28

1050 Ixelles

 

lundi 21 novembre 2011

Distribution de sacs à dos "kit de survie" pour les SDF

Le sac comprend en outre une trousse de secours et une trousse de toilette, un sac de couchage en forme de poncho et un antivol sous forme de pochette où papiers et argent peuvent être stockés plus discrètement. .

Une asbl bruxelloise s'est lancée lundi dans la distribution gratuite de sacs à dos pour SDF bruxellois. Ces « sacs de survie » contiennent notamment une trousse de secours, un thermos et des couverts. Sept cent cinquante sacs devraient être distribués cet hiver aux SDF de la capitale. « Des SDF ont participé à la conception du sac car ce sont eux qui savent le mieux ce dont on a besoin quand on est à la rue", a expliqué Mathilde Pelsers, infirmière sociale de l'ASBL Corvia, à l'initiative de la conception du sac. Selon elle, les premiers feedbacks concernant le sac à dos sont positifs.

Le sac à dos proposé aux sans -abris, est divisé en trois compartiments. Les deux premiers sont doublés de matière isolante afin de maintenir des boissons et plats au chaud ou au frais puisque le sac est également utilisable durant l'été. Le troisième compartiment, plus ample, contient une assiette, des couverts, deux petits pots pour ranger des médicaments, une petite planche pour découper des aliments, un verre avec une serviette, un tire-bouchon et des couverts.

BELGA
Mis en ligne le 21/11/2011
http://www.lalibre.be/actu/bruxelles/article/701457/distribution-de-sacs-a-dos-kit-de-survie-pour-les-sdf.html

dimanche 20 novembre 2011

Nombre de Sans-Abri

De : Opération Thermos
Envoyé : dimanche 20 novembre 2011 15:32
Objet : Nombre de Sans-Abri

 

Bonjour à tous,
 
A titre informatif, nous pouvons vous confirmer que le nombre de Sans-Abri a atteint les 150 personnes depuis quelques jours de manière régulière.
A bientôt.

Valérie Halconruy

 ASBL Opération Thermos
02.569.45.15
operationthermos@hotmail.com
www.thermos-asbl.be
 

lundi 14 novembre 2011

Vers un déblocage de l'aide aux démunis dans l'Union européenne

Avec le soutien de l'Allemagne la minorité de blocage n'existe plus.
L'aide aux plus pauvres dans l'Union européenne, qui menaçait d'être bloquée en raison de divergences entre pays, devrait pouvoir finalement être maintenue au cours des deux prochaines années, a indiqué lundi la ministre allemande de l'Agriculture, Ilse Aigner.

"Nous avons signalé (notre volonté d'accepter) de possible compromis", a-t-elle déclaré à Bruxelles. "Nous serions prêts à une solution de transition pour les deux prochaines années", a-t-elle ajouté. Le soutien de l'Allemagne était crucial pour permettre un déblocage.

Le maintien de cette aide aux banques alimentaires et soupes populaires en Europe était jusqu'ici remis en cause par six Etats de l'Union européenne réunissant ensemble une minorité de blocage, l'Allemagne, la Suède, le Royaume-Uni, le Danemark, la République tchèque et les Pays-Bas.

Ils s'opposent à ce que les fonds alloués au titre du Programme européen d'aide aux démunis (PEAD), tirés du budget agricole, soient utilisés à des fins de politique sociale.

Avec le soutien de l'Allemagne la minorité de blocage n'existe plus. Mais Mme Aigner a souligné que sa volonté de compromis pour les deux années à venir était conditionnée à la garantie qu'aucune politique sociale ne soit financée par l'UE à partir de 2014.

L'enjeu des négociations est d'éviter dès l'an prochain une réduction drastique -de l'ordre de 80%- de ces fonds à la suite d'un arrêt de la Cour européenne de justice. Actuellement, des centaines d'organisations caritatives d'une vingtaine d'Etats profitent de ce programme doté de 480 millions d'euros.

Les pays qui refusaient jusqu'ici s'appuient sur un arrêt de la Cour européenne de justice qui a estimé cette année que le PEAD, fondé en 1987, avait dévié de son objectif initial de redistribution des excédents agricoles, pour ne plus financer que des achats de nourriture tirés du budget de la Politique agricole commune, alors que ces achats relèveraient plutôt de la politique sociale.

afp
Mis en ligne le 14/11/2011
http://www.lalibre.be/actu/international/article/699746/vers-un-deblocage-de-l-aide-aux-demunis-dans-l-union-europeenne.html

mercredi 2 novembre 2011

Bill Gates: "L'agriculture pour réduire la pauvreté"

Le fondateur de Microsoft livre un plaidoyer en faveur des programmes agricoles qu'il estime gage de "stabilité" et de "croissance".

Le 24 octobre dernier, Bill Gates se voyait décerner avec le financier Warren Buffet, le Prix de la branche américaine du programme alimentaire mondial (PAM), pour son engagement dans la lutte contre la faim. Les deux hommes avaient en effet mis en place en 2008 un programme, "Purchase for Progress" ("acheter pour le progrès"), qui permet aux fermiers de vendre directement leur production au PAM, dès lors qu'ils améliorent la qualité de la récolte.

En marge de l'ouverture du sommet du G20 de Cannes ce jeudi 3 novembre, le milliardaire s'est exprimé dans les colonnes du quotidien Le Monde et a livré un plaidoyer en faveur des programmes agricoles, gage, selon lui, de "stabilité" et de "croissance". Bill Gates s'était vu confier par le président français Nicolas Sarkozy un rapport sur le financement du développement.

Le fondateur de Microsoft s'est d'abord dit "choqué" qu'au XXIe siècle, la faim et la pauvreté soient encore des maux pour de nombreuses personnes. "Le monde a les ressources, le savoir et les outils pour aider les plus pauvres à surmonter la faim et l'extrême pauvreté", estime-t-il. Bill Gates pense d'ailleurs que la famine qui touche actuellement la Corne de l'Afrique aurait pu être atténuée si certains investissements à long terme avaient été faits au préalable. Cependant, il précise aussi qu'il était plus difficile de faire les investissements nécessaires en Somalie parce que ce pays n'a pas de gouvernement opérationnel.

Bill Gates est d'ailleurs actif dans cette lutte contre la faim. Sa fondation a donné quelques 5,8 millions d'euros à six organisations de secours d'urgence qui opèrent en Ethiopie, au Kenya et en Somalie. Ses investissements devraient d'ailleurs être encore plus importants à long terme afin d'acheter de meilleures semences et d'améliorer les sols.

Le milliardaire rappelle que la Banque mondiale a montré "que le meilleur investissement pour réduire la pauvreté est en fait le développement de l'agriculture. 77 % des plus pauvres de la planète sont en effet cultivateurs."

Le milliardaire invite donc les Etats à investir dans l'agriculture des pays émergents, vecteur, selon lui, de stabilité économique et sociale. Il rappelle d'ailleurs que sur les promesses de dons pour le développement agricole faites en 2009 par les pays riches, seule la moitié a été allouée.

Rédaction Web
Mis en ligne le 02/11/2011
http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/697347/bill-gates-l-agriculture-pour-reduire-la-pauvrete.html

L'ONU défend une taxe sur les devises pour aider les plus pauvres

A la veille du sommet du G20 à Cannes, le Pnud invite les gouvernements à aider les pays les plus pauvres à réduire les "menaces environnementales" qui pèsent sur leur développement.

Le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) a appelé mardi la communauté internationale à mettre en place une taxe sur les opérations de change pour aider les pays les plus pauvres à s'adapter au changement climatique et en atténuer les effets.

"Nos analyses montrent qu'une taxe sur les opérations de change très faibles (0,005%) pourrait rapporter sans aucun surcoût administratif environ 40 milliards de dollars (29,3 milliards d'euros) par an", souligne le Pnud dans son rapport annuel 2011 sur le développement humain.

A la veille du sommet du G20 à Cannes, le Pnud invite les gouvernements à aider les pays les plus pauvres à réduire les "menaces environnementales" qui pèsent sur leur développement.

L'agence onusienne estime que les marchés de capitaux mondiaux, avec quelque 178 mille milliards d'actifs financiers, "ont la taille et la profondeur nécessaires pour relever le défi".

"C'est l'occasion de repenser à une taxe plus large sur les transactions financières", relève le rapport qui s'est penché cette année sur les conséquences du changement climatique sur le développement humain.

Comme l'explique le Pnud, "les plus défavorisés subissent souvent - et continueront de subir - les conséquences de la dégradation de l'environnement bien que nombre d'entre eux n'y contribuent guère".

Ces populations sont accablées par ce que les experts appellent une "double charge": plus vulnérables aux effets les plus larges de la dégradation de l'environnement, elles sont aussi confrontées aux menaces sur leur environnement immédiat dues notamment à la pollution de l'air intérieur, aux eaux polluées et aux problèmes d'assainissement.

Pour mesurer ces déficits graves en matière de santé, d'éducation et de niveau de vie, le Pnud a créé un indice de pauvreté multidimensionnelle qui cette année examine pour la première fois l'ampleur des "privations environnementales" en termes notamment d'accès aux combustibles de cuisson ou eau salubre.

"Les chiffres sont très choquants", affirme l'auteur principal du rapport, Jeni Klugman.
Dans les pays en développement, au moins 6 personnes sur 10 souffrent ainsi d'une de ces privations environnementales et 4 sur 10 en subissent au moins deux.

En outre, la moitié des cas de malnutrition dans le monde sont dus à des facteurs environnementaux, selon le Pnud.
Le rapport montre ainsi que malgré les progrès constatés en termes de développement humain au cours des dernières années, la destruction de l'environnement s'accèlère et la distribution des revenus s'est dégradée. L'Indice du développement humain (IDH) établi par le Pnud, et qui recouvre les revenus, la santé et l'éducation, montre ainsi des progrès sur le plan mondial (passant de la valeur 0,679 à 0,682 entre 2010 et 2011). Toutefois, ce même indice "ajusté aux inégalités" révèle une perte globale de 23% en un an. "Les plus grosses pertes (de l'indice, ndlr) ont été enregistrées dans le domaine de l'éducation, suivi des revenus et de la santé", a indiqué Mme Klugman, soulignant que toutes les régions du monde ont enregistré un recul de cet indice dit ajusté.

Selon l'IDH 2011, la Norvège, l'Australie et les Pays-Bas arrivent en tête, alors que la République démocratique du Congo, le Niger et le Burundi sont en bas du classement.

Les Etats-Unis, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l'Irlande, le Liechtenstein, l'Allemagne et la Suède complètent les 10 premières places du classement. Cependant, en ajustant l'indice aux inégalités, certains des pays les plus riches ne sont plus dans les 20 premières positions. Les Etats-Unis passent ainsi de la 4e à la 23e place. D'autres gagnent des places comme la Suède et le Danemark.

AFP
Mis en ligne le 02/11/2011
http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/697373/l-onu-defend-une-taxe-sur-les-devises-pour-aider-les-plus-pauvres.html